Si l’on devait résumer ce G.I. JOE: THE RISE OF THE COBRA, il faudrait simplement insister sur les effets spéciaux et les combats à gogo, sur les litres de testostérone utilisés et sur les paquets d’effets visuels en tout genre et pas toujours réussis.
Il faudrait par contre éviter de parler de la psychologie de supermarché, de la structure répétitive et sans imagination de l’ensemble (les flashbacks pour rappeler le passé des protagonistes par exemple), des grosses ficelles et de l’invraisemblance qui émaillent le récit… Sans compter également le manque absolu d’humour…
En définitive, G.I. JOE: THE RISE OF THE COBRA n’est pas vraiment à la hauteur d’un Stephen Sommers qui, avec THE MUMMY et ses suites, nous avait habitué à mieux qu’un simple film gonflette aux hormones…