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Wishmaster 2: Evil Never Dies

par Olivier Guéret
Publié: Dernière mise à jour le

Equipe:
Durée : 95’
Genre:
Date de sortie: 31/08/1999

Cotation:

2/ 6

Si vous avez manqué le début:

Le Wishmaster est de retour et il est prêt à exaucer tous vos souhaits, pour le meilleur et pour le pire, surtout pour le pire.

 

Notre critique:

Il est de notoriété publique que les producteurs de films ont plus de suite dans les idées que d’idées dans les suites. Besoin de preuves? Allez donc jeter un ¦il distrait sur ce WISHMASTER II. Séquelle opportuniste, embryon dégénéré, rejeton dénué d’originalité du premier opus mettant en scène le génie maléfique. Les jeux de mots foireux (un officier de police lance son habituel ‘freeze’ qui signifie gelez et se retrouve transformé en glaçon) sont ici aux prises avec des effets spéciaux toujours aussi sanguinolents et prétextes à plus d’une heure trente de n’importe quoi. On retrouve aux manettes de cet avatar fantastic-tionnesque, Jack Sholder, réalisateur autre fois inspiré (THE HIDDEN), actuellement faiseur de seconde zone officiant sur des séries de dernière zone. Côté acteur, c’est toujours Andrew Divoff qui campe l’homme peinturluré se voulant être la personnification du malin malin. Le tout est emballé dans un scénario papier recyclé qui sent le poisson pas frais où l’enjeu est une nouvelle fois le sort de la planète. A bon lecteur, salut…