Equipe:
Durée : 107’
Genre:
Date de sortie: 24/02/1998
Cotation:
Si vous avez manqué le début:
Il n'est pas bon d'être un juif de onze ans en Pologne au début des années quarante... C'est le dur sort d'Alex qui a échappé à la grande raffle du ghetto par les Allemands. Son père a été emmené, mais il lui a promis qu'il reviendrait le chercher. Inspiré par son roman favori - Robinson Crusoë - Alex organise sa survie dans un immeuble en ruine au milieu du ghetto maintenant désert. C'est son île, où - au milieu de nombreuses aventures - il attend fidèlement le retour de son père.
Notre critique:
Production de prestige que ce film danois. Des sous qui viennent de partout en Europe. Des grands noms au générique (Jack Warden, Patrick Bergin). Un grand roman à la base. D’un grand auteur (Uri Orlev), récompensé de nombreux grands prix. De grands thèmes aussi: l’enfance brisée par le malheur, le passage forcé aux responsabilités adultes, les horreurs du nazisme, etcetera, etcetera, etcetera, etcetera, etcetera.
Tout ça ne fait pas oublier que ce gros machin est lent, maniéré, académique et pesant. Comme si l’expression lourdeur scandinave avait été inventée spécialement pour lui. On s’énerve ou on ronfle, c’est selon. De toute façon, on s’emm…
Note personnelle: dites les gars, on avait dit que c’était Jean-Dominique qui faisait les navets burkinabés – même s’ils étaient danois. Alors bon la prochaine fois…