Les papys sont de retour et les hormones mâles dans la foulée… On retrouve bien sûr les habitués avec Stallone et Statham en tête tandis que Mel Gibson, Antonio Banderas, Harrison Ford viennent compléter une équipe qui a gagné avec les deux premiers opus ses lettres de divertissement réussi.
Mais voilà que Stallone, atteint d’une petite phase de jeunisme décide d’aller chercher une nouvelle équipe à peine sortie de sa période d’allaitement. Du coup le taux de testostérone qui faisait le charme des précédents retombe à un niveau à peine perceptible en même temps que l’humour et la dérision se font la malle.
Le récit ménage heureusement encore quelques beaux rebondissements et nous offre comme une cerise sur le gâteau un rôle de pitre pour Banderas qui prend un malin plaisir à jouer les midinettes qui feraient n’importe quoi pour entrer dans l’équipe des papys…