Equipe: Anton Csazar, Gérard Bitton, Michel Munz, Mickaël Lumière, Yohan Manca
Durée : 110’
Genre: Comédie
Date de sortie: 16/10/2019
Cotation:
Si vous avez manqué le début:
Quatre compères en fin d’études tente de trouver leur voie dans la vie professionnelle mais ne sont pas toujours en phase avec les espérances de leurs parents...
Notre critique:
C’est en 1997 que Thomas Gilou avec l’aide de deux scénaristes entamait avec LA VERITE SI JE MENS ce qui allait devenir une véritable franchise de la comédie sentimentale et sociale parlant d’intégration et de mixité avec humour.
2019, 22 ans plus tard et quelques séquelles en plus (le 2 et le 3 pour être exact), LA VERITE SI JE MENS! LES DEBUTS est à cette franchise ce que Marvel Origins est à la franchise Marvel… i.e. une sorte de journal de jeunesse des héros.
Bon soyons clair, la comparaison avec l’univers Marvel s’arrête là! Car LA VERITE SI JE MENS! LES DEBUTS balance les clichés les uns après les autres et le récit enfile les sous-récits à la façon de perles pourries honteusement prévisibles. Et l’on s’ennuie ferme en attendant le gag qui devrait nous sortir de notre torpeur. Malheureusement à chaque fois, le scénario en remet une couche et crée un nouveau rebondissement pour essayer de sortir le spectateur de l’ennui.
Qui plus est, le récit s’embarque même dans des moments dramatiques qui tombent eux aussi à plat et ne rajoute strictement rien à un film fortement dispensable…