Birds of Prey: And the Fantabulous Emancipation of One Harley Quinn

Birds of Prey

A l’instar des comics dans lesquels Harley Quinn s’est libérée de l’emprise du Joker, le cinéma se décide lui aussi, avec BIRDS OF PREY: AND THE FABULOUS EMANCIPATION OF ONE HARLEY QUINN, à entamer une histoire de la super-méchante la plus dingue en héroïne solo se constituant une petite équipe de nanas au moins aussi barjo qu’elle.

Au cinéma, le personnage d’Harley Quinn est apparu en 2016 dans un SUICIDE SQUAD qui n’a pas laissé de souvenirs très mémorables si ce n’est déjà à l’époque la prestation de Margot Robbie (à l’écran en ce moment dans BOMBSHELL) qui semblait s’en donner à coeur joie aux commandes de ce personnages complètement à l’ouest.

On comprend donc aisément que les studios aient souhaité mettre ce personnage en avant avec l’aide de l’actrice (qui est créditée aussi comme productrice). Aidé par un casting plutôt sympa et par un vrai méchant (pas comme la douce Harley) campé par Ewan McGregor, BIRDS OF PREY a un petit côté un peu foutraque qui plaira certainement à de nombreux spectateurs.

Toutefois, dans sa volonté de se la jouer un peu façon DEADPOOL version féminine, le film n’est pas toujours à la hauteur de son envie de dégommer tout ce qui bouge et de l’irrévérence de ce dernier. Heureusement, Margot Robbie est tellement explosive qu’elle assure le spectacle sans jamais faiblir, si bien qu’en en redemanderait bien un peu pour la voir faire encore le ménage avec sa batte favorite, accompagnée de sa bande de filles au moins aussi tarées qu’elle…

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